Les migrants s’expriment à travers diverses formes artistiques et littéraires, révélant leurs souffrances et leurs espoirs.

Leur art exprime leurs expériences et les racines de leur exil. Les récits mettent en lumière les obstacles géographiques et les opportunités rencontrées lors du voyage.

L’écriture géographique enrichit la compréhension des dynamiques migratoires, plaçant l’expérience humaine au centre. Le droit formalise ces parcours transnationaux et les institutions d’asile jouent un rôle crucial dans l’accueil et l’évaluation des récits individuels. La question de la mémoire des réfugiés et leur intégration dans la société prend alors tout son sens.

Ce sont donc les mécanismes de construction de cette mémoire vive des migrants que nous souhaitons explorer dans le cadre de ce colloque organisé par la Chaire Francophonies et Migrations de l’Institut Catholique de Toulouse.